Il ne fallut pas moins de trois frêles et brèves pensées pour obtenir l'aveu inaudible et suffisant d'une libre résolution.
La première mit fin au vent de lune, acerbe et conquis.
La seconde tarit les sources putrides de ce verbe grinçant.
La dernière fit ses adieux au poète endormi.
C'est seulement alors que la voie fut trouvée.
Le marcheur suivit le chemin de son âme.
La victoire du clandestin l'emporta sur le malheur d'une naissance lapidée.
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