"... Je suis l'éternel épris, le captif évident.
Le parfum de la terre me réveille à l'orée du jour
Et mes chaînes de fer réveillent la terre dans le soir précoce.
Voici la possibilité d'un nouveau départ dans l'existence.
Ceux qui partent à la vie ne s'informe pas sur leur propre destinée..."
Mahmoud Darwich, extrait de "Le poème de la terre", in La terre nous est étroite.
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