Après trois formidables journées drômoises, reposantes, amicales et franchement campagnardes, changement de programme intempestif, une vieille envie de voir la mer, à défaut de tracer la route jusqu'à... Milano e Venezia ! Et c'est pas faute d'avoir résisté à toutes les tentations autoroutières qui me tendaient traîtreusement leurs petits panneaux.
Dire que j'avais assez de "gasoline in la macchina" et les chaînes dans le coffre... Sniff...
Mais comme il paraît que je dois être "résonnable" à mon âge...
Bref, me voilà depuis sta sera au pays de l'OM et des graffitis - mot d'origine italienne dont le singulier est graffito et que nos jeunes rebelles français ont détourné sans même demander l'autorisation à ma défunte grand-mère, les vilains, rendons aujourd'hui à César ce qui est à Berlusconi - me voilà donc, je disais, envahissant la demeure fraternelle pour mon plus grand plaisir (et le sien il va sans dire !). Après avoir essuyé les bouchons marseillais, car, oui, madame, Lyon ne doit pas s'enorgueillir de cette spécialité ô combien regrettable, nous avons dégusté un fort copieux repas pakistanais servit par notre désormais fameux "Ajax" avant une promenade nocturne des plus nécessaires...
Promis, Anne-So, après mes provisions photographiques de "Graffitti" en tout genre, j'ai prévu demain une petite virée à la Bonne-Mère, pèlerinage incontournable s'il en est.
Patience...
Et puis, on sait jamais, si j'croise une mouette, je la saluerai de ta part !
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