Je crois que je suis amoureuse !
Elle respire la joie de vivre
L'ouverture aux cultures qui la peuple
Qui la façonnent
Qui impulsent son constant renouveau
On y parle toutes les langues
Et toutes les couleurs
S'y mêlent discrètement
Montagnes et chantiers navals
Douceur du farniente
Et souriante frénésie
On y conduit comme à Casablanca
On y mange comme à Naples
On y respire comme à Lorient
On y dort comme au Paradis
Du très populaire "Panier"
Qui a mon intime préférence
Aux quartiers chics du huitième
Chaque arbre
Chaque rue
Chaque habitant
Vous invite par son regard
A aimer un peu plus
Une cité qui a fait de la vie
La partition de sa douce mélodie
Vous y découvrirez :
Le quartier fraternel de Notre-Dame du Mont et sa fameuse rue Berlioz,
Le Vieux Port et son incontournable Canebière,
L'admirable quartier du Panier, où l'on y trouve bien autre chose que le haut, et c'est tant mieux,
Le musée de la Vieille Charité en son sein,
Notre-Dame de la Garde, cette "Bonne-mère" qui veille sur la cité phocéenne, son tribunal, sa mairie et sa préfecture,
Le Vallon des Auffes, un petit village de pêcheurs, en pleine mégapole,
Le MAC, le célèbre Musée d'Art Contemporain, 2500 m2 d'exposition, un truc de ouf comme ne l'aurait jamais dit ma grand-mère,
Les plages désertées par ces frileux marseillais.
Pour chacun d'entre vous aussi un clin d'oeil au coin (coin !) de la rue.
Partout ici, passé, présent et avenir se mêlent.
Partout ici le souvenir salue la promesse.
Un grand MERCI à Benoït et Virginie pour leur accueil chaleureux, leur pizza Nutella-Bananes-Fraises Tagada (oui, je sais, c'est très léger... Mais c'est délicieux !!!), leur disponibilité infaillible, leurs bons jeux de mots et leur patience légendaire.
1 commentaire:
Tu prêches une convaincue, ô combien conquise, déjà. Contente de retrouver tous ces endroits parcourus, un petit faible aussi pour le Panier, bien qu'il se bobo-ise, quant au Vallon des Auffes, souvenir ému d'un resto le soir, en terrasse, face à la mer, sous la circulation, qui ne s'arrête jamais. Si en plus, j'ai déjà une rue...
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