"... Parce que bien que blessé
Le temps palpite encore..."
Cahier du nomade, Tomas Segovia.
A ces mots
Qui seuls
Porteront dorénavant
Mes rêves
Parce qu'il n'est plus de raison
Qui tienne
Préférant
Et de loin
La solitude
A l'irréparable
Il te faut maintenant
Oublier ma présence
Photo Caro, Préfailles, mars 2011.
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