A l'inutile tu refuses de céder. Aux longues et silencieuses heures tu dédies ton passé. A tes enfants tu n'auras pu léguer que le chemin sans retour, la terre de tes ancêtres que jamais plus tu ne fouleras.
Et lorsqu'un regard tu croises, à l'abri de l'exil, au fond de ton être, pleurent tes voeux oubliés.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire